Je n’ai jamais oublié vos premiers passages à Paris, il y a plus d’une dizaine d’années, et ce matin à la messe une de vos paroles m’est revenue : « Nous sommes à l’aurore de la plus belle des histoires du monde. »
Je réalise que, quoi que nous fassions, le plus important est que l’amour de Dieu circule de plus en plus entre tous les hommes. Je savoure la présence de Jésus dans le tabernacle et le son des cloches me ravit de joie ! Je savoure l’instant présent !