Je suis une nouvelle adhérente à la « Pensée du Jour ». C’est par hasard que je suis tombée sur un de ces messages, qui m’a beaucoup plu. Ainsi, j’ai tout lu, et j’ai cherché à savoir plus. Tout de suite, je me suis abonnée, et depuis, chaque matin, je lis ma Pensée des Choisis de Jésus par laquelle Jésus s’adresse personnellement à moi. Chaque Pensée traduit mon état d’esprit du jour, ce que je ressens, et cela m’aide à me sentir mieux moralement pour commencer ma journée, guidée par la lumière du Saint-Esprit.
Relation à Jésus
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Seigneur, quel cadeau d’avoir un Dieu comme Toi et d’oser Te donner la première place dans ma vie ! Depuis le jour où j’ai fait ce pas, tout a changé et Tu Te plais à me ramener à l’Essence-Ciel (l’essentiel), qui est de reconnaître mon impuissance et de donner toute la place à Ta puissance.
Seigneur, je vois que Tu m’entraînes, à travers les difficultés de chaque instant, à Te les donner et à me réjouir en Toi, alors que je bute sans cesse sur mes limites et mes manquements. Au début, naturellement, je m’énerve contre moi-même et puis je pense à Toi et je Te donne la situation qui semble bloquée. Toi, Tu me remets en confiance, je m’apaise et les choses s’arrangent, la situation se débloque. Oui, Tu m’entraînes à la confiance totale.
Je suis en exode du pays de mes peurs et mes angoisses vers la terre promise de Ton Cœur plein d’amour. Je mesure combien le plus important, c’est cette relation de cœur avec Toi, tout le reste est au second plan.
Pour prier avec les Choisis de Jésus : http://www.fcdj.org/prieres
Dès mon jeune âge, étant une personne très sensible et assez logique, je me posais beaucoup de questions existentielles. J’ai cherché le bonheur dans le plaisir, les voyages, l’astrologie, la vie facile, etc. Et la peur m’empêchait de m’engager dans un projet de vie à deux. Je lisais des livres qui devaient me donner des recettes de bonheur, mais je restais insatisfaite et certaines lectures m’ont plus embrouillée qu’autre chose.
À l’âge de 30 ans, j’ai vécu une fin de semaine de Cursillo et cette expérience m’a convaincue de l’existence de Dieu. Durant les jours suivants, j’ai lu tout le Nouveau Testament et j’y ai trouvé beaucoup de réponses. Puis, j’ai rencontré mon mari et je me suis enfin dit : « Voilà, j’ai trouvé le bonheur. » Mais, notre relation ne m’apportait pas le bonheur.
À travers les exigences et les joies de mon travail d’enseignante et de ma vie de famille, je continuais à chercher le bonheur. L’amour de mes enfants et mon union à Dieu dans la prière, la messe dominicale, mes rencontres hebdomadaires au sein du mouvement Cursillo et des fins de semaine de ressourcement m’ont aidée à poursuivre ma route avec une certaine paix, avec amour et joie.
Puis, en l’an 2000, j’ai mis la main sur le livre de Léandre Lachance : « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». Dès les premières pages, j’ai su que ces écrits répondaient à mes désirs profonds et me conduiraient à un plus grand bonheur. Apprendre que je pouvais vivre dans la jubilation, même à travers les tribulations de ma vie, me donnait beaucoup d’espoir.
C’est pourquoi, chaque jour, je me nourris de la « Pensée du Jour » et je découvre de plus en plus que le bonheur est d’accepter que je suis un être fragile, petit et faible, mais surtout que je suis aimée de Dieu. Je peux Lui faire confiance, car Il peut faire en moi et par moi de grandes choses.
L’important, c’est ma relation avec Dieu. C’est pourquoi je dois m’accorder de plus en plus de temps pour être en intimité avec Lui. Le meilleur moyen, c’est l’adoration eucharistique. Depuis environ trois ans, j’ai l’opportunité de pouvoir faire une heure d’adoration chaque vendredi et j’en retire de grands bienfaits.
Lien vers les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » : http://www.fcdj.org/bibliotheque/livres_pour_le_bonheur_des_miens_mes_choisis_-_jesus
Je veux vous remercier pour votre œuvre, pour vos messages quotidiens qui me nourrissent et m’aident à rester unie à Jésus. Ils m’encouragent à vivre une relation personnelle avec Lui, à me sentir aimée telle que je suis. Ils m’aident aussi pour évangéliser… le monde a tellement besoin d’amour et d’espérance !
Ô mon Divin Époux, combien je T’aime, combien je T’ai cloué moi-même sur la Croix, combien Ton amour pour moi dépasse l’entendement humain ! Ô mon Époux, je T’implore de ne plus permettre que je Te fasse souffrir. Ta grande miséricorde m’a lavée, c’est le prix de Ton sang qui coule sans cesse, purificateur et salvateur.
Merci, ô Amour, de me permettre, sans même que je le réalise et de partager un peu de notre complicité d’époux! Ô mon Jésus, je T’aime et je Te rejoins dans le petit recoin de mon être où Tu viens Te reposer. Là, comme Marie, j’ai la meilleure place, celle que Tu attendais que je prenne, celle de Ton épouse… et que Ta grande fidélité ne m’enlèvera jamais.
Parce que l’Amour m’aime, je deviens l’Amour.
Lien vers d’autres prières : http://www.fcdj.org/prieres
Une religieuse missionnaire témoigne :
Je suis une lectrice assidue des trois volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». La spiritualité du Oui au Seigneur me rejoint profondément. L’enseignement de Jésus est si simple. Quelle pédagogie Il sait employer pour toucher les cœurs !
La maladie a changé ma vie. J’ai dû laisser le Mexique, car je suis atteinte d’une tumeur cancéreuse au fémur. J’ai d’autres métastases aux os et selon l’oncologue, il n’y a pas de guérison possible. Je vis cette épreuve dans une grande paix et je considère cela comme un temps de grâces où Dieu me libère de mes responsabilités pour me rapprocher de Lui.
Les messages des trois volumes orientent ma nouvelle mission d’amour, car je veux aussi aider d’autres personnes à découvrir cette spiritualité du Oui à Dieu et à se laisser transformer dans Son amour. C’est si simple et si profond à la fois !
Clique ici pour lire les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus »
Nous approfondissons notre relation au Seigneur Jésus grâce aux Pensées qui, tous les jours, confirment ce que nous vivons dans la foi. Nous vivons l’unité, le corps du Christ, dans ce oui répété avec force et sincérité !
Merci, Seigneur, de mettre des anges sur notre route pour nous fortifier ! Demeurons en union de prière pour que la civilisation de l’Amour puisse se réaliser avec notre participation.
Voir aussi la « Pensée cliquable » : http://www.fcdj.org/pensee_cliquable
Comment rendrais-je au Seigneur tout le bien qu’Il m’a fait ? Je veux vivre pour Lui, chanter pour Lui, travailler pour Lui. Qu’Il soit loué et béni, Lui qui sauve, relève et donne paix et joie à mon âme. L’amour du Seigneur est le plus fort ! Merci pour la Pensée quotidienne, elle me fait entrer davantage dans cette relation amoureuse avec mon Dieu et avec mes frères et mes sœurs.
Une personne écrit à Léandre :
Aujourd’hui est un jour très particulier pour moi, car il y a justement un an, j’ai eu une rencontre très importante qui était d’une certaine façon liée à vous. C’est pourquoi, je voudrais vous partager ma reconnaissance pour ce qui s’est passé. L’année dernière, le 24 août, vous étiez en Lettonie et vous avez animé une retraite dans notre paroisse. Je ne le savais pas et je n’avais pas prévu y participer. La Providence divine en avait décidé autrement. J’étais en train de longer le bord de l’étang de Mara, lorsque j’ai rencontré « par hasard » des personnes connues qui allaient à la retraite. Elles m’ont invitée à venir avec elles. J’ai pensé : « D’accord, j’y vais pour écouter un peu. » C’est ainsi que je suis venue à cette retraite sans me douter qu’elle serait si providentielle pour moi et des grâces qui m’y étaient préparées. Tout s’est déroulé comme d’habitude – la louange, puis l’enseignement, la joie et le sentiment d’unité. Votre témoignage m’a interpellée et a réchauffé mon cœur, surtout le fait que le Seigneur vous appelle « mon petit » et la manière dont Il exprime Son amour par des paroles comme « Je t’aime tendrement, follement ! » Jamais avant, je n’avais entendu une chose pareille – qu’on puisse être dans une telle intimité avec Dieu, bien que j’aie senti dans mon cœur cet Amour très tendre et en même temps follement passionné. Ce qui me faisait peur et me rendait confuse, car je pensais qu’il y avait peut-être quelque chose qui n’était pas bien en moi. J’étais trop timide pour en parler, car à mon avis, les relations avec Dieu devaient être distantes. Donc, comme dans une sorte d’étonnement, j’ai continué à participer à la retraite, jusqu’à la situation (je ne me souviens plus de ce qui se passait à ce moment-là) où, en regardant Jésus dans le tableau de l’autel, j’ai commencé à recevoir un tel fleuve d’Amour qui m’a séparée de ce qui se passait autour de moi. J’ai ressenti que j’étais en train de fondre comme un morceau de beurre jaune dans le Soleil de l’Amour de Dieu. Je me sentais très bien, mais tout à coup, dans ce morceau de beurre, j’ai remarqué qu’il y avait des taches noires, comme du marc de thé, qui pendant la fonte sont apparues et devenues plus évidentes. Je n’ai pas aimé cela et j’ai compris que le Seigneur me montrait ainsi que c’étaient mes péchés encore non confessés. Ces contrastes étaient si frappants ! Le sentiment d’un bonheur infini en fondant dans le Soleil de l’Amour de Dieu et la conscience de mon état de pécheresse…
J’ai décidé de me confesser tout de suite, mais comment ? Il n’y avait que des prêtres catholiques dont je n’osais pas m’approcher, car à cette époque-là j’appartenais encore à l’Église Luthérienne. Comme « par hasard », j’ai aperçu le prêtre qui, un jour, était venu à une réunion à l’école supérieure luthérienne où je faisais mes études. Au moins, je savais son nom et je connaissais certaines personnes qu’il connaissait lui aussi, et auxquelles j’aurais pu me référer si c’était nécessaire. Cela m’a encouragée à aller vers lui avec mon besoin de me confesser. Le prêtre a dit qu’il pouvait m’écouter et prier pour moi. Cela m’a suffi, car je savais que je disais mes péchés à Dieu Lui-même ; et bien que, étant luthérienne, je n’aie pas pu recevoir l’absolution, je croyais que Dieu m’avait exaucée. Après avoir épanché mon cœur devant Dieu, je suis retournée dans la salle pour continuer à participer à la retraite où l’Amour de Dieu m’attendait déjà avec une phrase qui a été pour moi déterminante. Je L’ai entendu me dire : « Chère petite fille, il te suffit de manger des miettes, viens t’asseoir à table ! » C’était si clair, que j’ai compris à l’instant que j’étais appelée à m’associer à l’Église : la porte était ouverte ! Moi seule, je devais décider d’entrer par elle ou pas.
La suite s’est déroulée comme dans un film accéléré. J’ai retrouvé le prêtre, maintenant pour « parler affaires ». Malheureusement, je ne me souviens de rien de ce dont on a parlé, tant j’étais bouleversée. Probablement que je lui ai parlé de mon expérience de foi. Je me rappelle une phrase : le prêtre m’ayant demandé si je savais comment se passait la conversion à une autre confession, j’ai répondu « non ». À la fin de cet entretien, nous nous étions déjà mis d’accord par rapport à la date : le 8 septembre, l’anniversaire de la Maman de Dieu. C’est ce jour-là que j’ai dit mon Oui dans l’Église catholique.
Je suis très heureuse et reconnaissante. Grâce à cet événement, j’ai trouvé ma maison spirituelle, l’appartenance à la paroisse et la possibilité d’être dans l’unité de la table de l’Église, avec la Communion. Cette année a été la plus heureuse dans ma vie, car j’ai reçu tant d’Amour que je ne me souviens même plus comment a été l’hiver : pour moi, c’était un printemps permanent qui m’a réjouie avec l’odeur de ses fleurs épanouissantes.
C’est ainsi que vous, Léandre, sans vous en rendre compte, vous êtes devenu quelqu’un qui m’est cher et que je porte dans mon cœur avec reconnaissance et prière.
Clique ici pour visionner une retraite donnée par Léandre Lachance
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