Je tiens à vous remercier pour les riches enseignements que vous nous avez donnés de la part du Seigneur. Vous avez parlé de : « Information, Formation, Transformation ». Dans ma petitesse, depuis la retraite, je vois dans ma vie les transformations que fait le Seigneur.
Au début de la retraite, vous disiez de ne pas avoir d’attentes, mais d’accueillir. C’est ce que j’ai fait. Chaque jour de la retraite, j’avançais avec le Seigneur, pas à pas, je disais Oui et j’accueillais tout Son amour.
La première transformation visible dans ma vie : Sur la route du retour, en voiture avec des amis, le pilote s’est trompé et nous a fait faire un grand détour. Face à cette situation, j’étais remplie de calme, d’abandon et de lâcher-prise, alors qu’en temps normal j’aurai rouspété, critiqué, etc. Merci Seigneur pour ce début de transformation. Chaque jour, assidue à la prière, je dis Oui au Seigneur.
Ce qui m’aide aussi, c’est de Lui dire que je renonce à mes pensées, et tout de suite, la paix vient dans mon cœur. Chaque matin, je consulte la « Pensée du Jour » sur Internet. Ensuite, je la médite entièrement dans le volume concerné et le soir, avant d’aller me coucher, je demande au Seigneur de me donner une autre Pensée pour la nuit.
Chaque jour, je reçois un paquet cadeau de la part du Seigneur, et je l’ouvre. Encore merci pour votre Oui qui me permet de dire Oui à mon tour. Je suis heureuse d’être aimée par l’Amour, afin que je devienne l’Amour.
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Oui, Seigneur, j’accepte d’être brûlée au feu de Ton amour. Je brûle d’un grand désir que Tu déverses dans mon cœur des flots d’amour. J’accepte d’être aimée à la folie et d’être entièrement pardonnée afin d’être consumée au feu de Ton amour.
Depuis qu’une personne m’a fait lire une fois la « Pensée du Jour », c’est la première chose que je lis chaque matin. J’aime cette parole que je fais souvent mienne.
Merci, Jésus, pour Ton amour !
Pour vous abonner à la « Pensée du Jour » : http://www.fcdj.org/abonnement_a_la_pensee_du_jour
Dans ma jeunesse, j’ai été marqué par la télésérie « Le temps d’une paix », laquelle racontait la vie dans le Québec rural entre la Première et la Deuxième guerres mondiales. On pouvait notamment y découvrir le climat de foi à l’intérieur duquel la société baignait alors.
Il y a quelques années, je me rendais pour un congrès dans la région de Charlevoix, là où se déroulait l’histoire du téléroman. Après les délibérations, j’ai profité d’une journée de répit pour me rendre à Notre-Dame-des-Monts, afin d’y visiter la maison de Rosanna, où se déroulait une grande partie de l’histoire.
Quelle ne fut pas ma déception de constater que les lieux que je voyais au petit écran étaient désormais laissés à l’abandon ! Tout cela faisait maintenant partie de souvenirs que je pourrais occasionnellement partager avec d’autres adeptes de cette télésérie au détour d’une conversation impromptue… jusqu’au dimanche de Pâques cette année, au cours duquel j’ai littéralement dévoré les mémoires de M. Léandre Lachance, intitulées « Bonheur en héritage ».
Pour moi, le mot bonheur est tout à fait approprié, tant il me fut agréable de plonger au cœur du témoignage touchant et attachant d’un individu qui aurait très bien pu figurer parmi les personnages principaux dans « Le temps d’une paix ». J’imaginais le petit Léandre vaquant aux occupations de la ferme, rêvant à son avenir et aidant son prochain. En filigrane, je constatais également la marque du Seigneur qui guidait ses pas vers un amour grandissant. L’amour envers Dieu, envers sa famille, envers son travail et envers les autres.
Féru d’histoire et ayant complété une maîtrise dans ce domaine, il m’a été donné de lire les mémoires de plusieurs grands personnages. Elles permettent souvent à ceux et celles qui utilisent ce genre littéraire de se justifier, de régler des comptes, de se faire la part belle. Règle générale, il convient donc de s’équiper d’un sens critique vigilant quand on les aborde.
Le livre de Léandre Lachance ne s’inscrit pas dans cette perspective. Au fil des pages, je me suis étonné des actions posées par l’auteur à plusieurs moments cruciaux de sa vie. Comme, par exemple, lorsqu’il refuse de profiter d’une occasion d’affaires exceptionnelle parce qu’il ne veut pas outrepasser la prérogative qu’il reconnait à son frère. Combien de gens seraient prêts à agir ainsi dans notre monde marqué par l’égocentrisme, la jalousie, l’envie et l’avarice ?
Pensons également à cette période au cours de laquelle Léandre a aidé son frère et sa belle-sœur à traverser une étape très difficile sans devoir passer par les tribunaux. C’est quelque chose. Alors que plusieurs seraient montés aux barricades pour soutenir l’un des deux époux et auraient jeté de l’huile sur le feu de la discorde, il posa un geste qui leur évita beaucoup de douleur, de problèmes et, ultimement, de regrets.
Mais là où je suis tombé en bas de ma chaise, c’est lorsqu’il évoque le début de sa relation avec son épouse, sa douce et souriante Élisabeth. Alors qu’il la fréquentait, l’ancien ami de cœur de celle-ci devait revenir dans les parages. Léandre posa alors un geste tout aussi bouleversant que révélateur de sa personnalité. Laissons-le décrire ce qu’il fit : « Je voulais me montrer bon gentleman : je lui ai dit [à Élisabeth] à regret que je me retirais et nous nous sommes laissés. » S’effacer par amour et dans l’amour, voilà l’un des traits marquants de cet homme d’exception.
Mais Léandre Lachance ne l’a pas uniquement fait pour ses proches. Il l’a aussi fait pour et avec Jésus – ce qui est beaucoup plus radical et j’oserais même dire difficile parfois. À cet égard, j’ai été profondément marqué par quelque chose qu’il m’a dit un jour : « Plus on s’approche du Seigneur, plus on est touché par Ses grâces. »
En méditant sur ces paroles, je pensais à Lord Mountbatten – grande figure de l’histoire britannique contemporaine qui est également l’un de mes héros favoris de la Deuxième Guerre mondiale. Celui-ci affirmait que sa mère lui avait conseillé de ne pas se soucier de ce que les gens pensaient de lui dans l’immédiat, mais plutôt de se préoccuper d’agir de manière à ce que ses enfants et ses petits-enfants estiment qu’il avait bien fait. Léandre Lachance a prolongé cette démarche, en compagnie du Seigneur.
N’hésitez pas à un seul instant à plonger dans ce récit simple, vivant et inspirant. Léandre Lachance m’a fait rire, pleurer, réfléchir et prier. Vous y découvrirez également une page importante de l’histoire du Québec et constaterez que même si l’omniprésence du fait religieux observable dans « Le temps d’une paix » est maintenant révolue dans notre société, la manifestation vibrante de l’amour et des grâces du Seigneur dans notre monde demeure intacte.
« Bonheur en héritage » nous permet non seulement de mesurer l’impact de ce choix, mais aussi de puiser à la sagesse du parcours d’un homme qui a choisi la boussole de l’amour pour guider sa vie et qui a répondu Oui à l’invitation de Jésus.
Un moment de lecture délectable. Un temps de bonheur.
Les trois livres « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » sont maintenant mes livres de chevet que j’ouvre le soir, la nuit, le matin, pour m’en remplir le cœur et l’esprit et surtout pour les mettre en pratique. C’est ainsi une prière continuelle, du moins, c’est ce que je souhaite…
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Je suis heureuse de cheminer en m’appliquant à vivre, jour après jour, la spiritualité du Oui que l’on retrouve dans les messages de « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». Je rends grâce à Dieu pour toutes les transformations qu’Il a opérées en moi depuis trois ans, à travers les Oui que je Lui donne et redonne sans cesse. Cette spiritualité semble facile à appliquer, mais, en réalité, c’est difficile de lâcher prise et c’est déstabilisant. Cela ne se fait pas sans combat, il y a des chutes et des relèvements. J’expérimente combien le renoncement à ma volonté propre me libère peu à peu de l’esprit de pouvoir dans l’exercice de mes responsabilités dans la paroisse. Je découvre également que plus je donne mes Oui au Seigneur, plus j’avance sur le chemin du renoncement à moi-même et plus j’accepte ce qu’Il me donne à vivre, sans révolte, même dans les moments douloureux. Plus j’entre dans ce mouvement de confiance en Sa volonté, plus j’expérimente une paix et une joie intérieures. Ma relation avec le Seigneur et mon prochain se simplifie.
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Merci, mon cher Jésus, de faire de nous Tes amours. Tu me connais : si Tu n’avais pas rempli mon cœur de Ton Amour lorsque je me suis adressé à Toi dans ma détresse, je n’aurais jamais pu bénéficier d’un tel amour de la vie comme c’est le cas présentement. Tu ne T’es pas contenté de me nettoyer… Depuis que le ménage a été complété, Tu ne cesses d’inonder la profondeur de mon âme de Ton Amour trinitaire. Je n’ai aucun mérite sinon de Te redire sans cesse merci, merci, merci ! Comme acte de remerciement, j’essaie d’être attentif à toute personne qui semble vivre une certaine détresse pour Te l’offrir, afin qu’elle puisse elle aussi bénéficier à son tour de la même gratuité de Ton Amour dont je me sens comblé.
J’ai assisté dernièrement à une conférence de Léandre Lachance. J’ai été touchée par son message d’amour et très positif. Je suis religieuse. Ma communauté a déjà acheté le premier volume de « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » et nous achèterons les deux autres bientôt. De plus, je souhaiterais recevoir quotidiennement la « Pensée du Jour ». Avec mes remerciements, grande union de prière.
Les livres « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » me font du bien. Je manquais de confiance et d’abandon. À la lecture des messages, j’ai remis ma vie à Jésus. Je crois à Son grand Amour pour moi. Ma foi est transformée. Je grandis dans l’Amour et je crois que je suis aimée.
Lien vers les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » : http://www.fcdj.org/bibliotheque/livres_pour_le_bonheur_des_miens_mes_choisis_-_jesus
En 2001, j’ai été responsable d’inviter Léandre à la Vigne, à Saint-Jérôme, pour une retraite. J’ai alors lu les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus », mais je les ai sans doute lus trop vite, ou avec ma tête. Malheureusement, je ne m’étais pas laissé toucher. Je les ai relus en mai 2010… et là, quel éveil d’Amour ! C’est ce que j’ai vécu de plus intense de toute ma vie. J’en ai été très touchée, profondément, pendant plus d’un an.
Maintenant, je vis des temps plus difficiles. J’ai beau tout remettre et aller à la messe, mon temps de présence à Jésus a diminué et j’arrive très difficilement à me connecter avec Lui comme avant. Mais je continue à avancer, bien sûr.
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