Joie

Témoignage d’un prêtre :
Je suis prêtre de Jésus-Christ dans l’Église catholique. Je me lance dans la lecture du premier livre « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». Je choisis de lire en présence du Saint Sacrement. Là, il se passe quelque chose que jusqu’ici, je n’avais jamais connu. Dès le début de la lecture, je me sens en communion et en relation directe avec le Seigneur Lui-même. Les questions posées par Son messager deviennent vite les miennes et les paroles de Jésus s’adressent si fortement à mon cœur que sans L’entendre ni Le voir, la relation entre la présence de Jésus vivant dans l’hostie consacrée et moi-même se fait si concrète qu’un vrai dialogue intime et confiant s’installe. Le temps semble s’arrêter.
Je pars dans ma journée, imprégné comme une éponge gorgée d’eau vive, avec ces refrains pleins de vie : « Parce que l’Amour t’aime, tu deviens l’Amour. » « Parce que Je t’aime et tu te laisses aimer, tu deviens vrai, tu deviens libre, tu deviens l’Amour. » Par ces refrains, je me sens de plus en plus orienté à dire un vrai Oui au Seigneur. Je suis certain qu’Il me transforme et la joie envahit mon cœur. Je suis poussé à tout Lui remettre : joies, peines, peurs, difficultés… Ma vie de foi, d’espérance et de charité s’en trouve changée. Mon sacerdoce est dynamisé.

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Nous sommes très choyés de faire partie des Choisis de Jésus. Nous traversons des moments difficiles à cause de la maladie. Que nous réserve l’avenir ? Une chose est certaine, c’est que les trois volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » que nous possédons depuis deux ans sont pour nous source de joie et de paix profondes, malgré la croix qui est toujours présente.

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Merci pour tous vos messages qui, souvent, me rejoignent dans mon quotidien. Aujourd’hui, je me suis procuré le premier volume « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus », et j’éprouve une immense joie. C’est très riche en enseignements. Mille mercis et bonne continuation.

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Il y a encore quelques jours, j’étais convaincue que je n’aurais pas de travail pour cette année. Comme je suis assistante au directeur dans une école, j’avais commencé les démarches pour demander pour bénéficier des indemnités de chômage. Puis, en lisant les « Pensées du Jour » du 16 et du 17 octobre, je me suis dit : « Si je ne travaille pas cette année, c’est que le Seigneur me réserve d’autres surprises, je sais qu’Il est là. » Je me suis sentie en paix incroyable, tous mes soucis s’en sont allés. J’avais une telle joie ! Contre toute attente, j’ai trouvé aujourd’hui dans ma boîte à lettres une grande enveloppe contenant un contrat de reconduction de mon poste. Ouf ! Quel bonheur ! Vous m’avez aidée à garder espoir et cela m’a fait vivre en ayant le moral. De plus, j’ai eu une autre bonne nouvelle concernant ma santé, que j’attendais depuis plus de 12 ans. Les miracles du Seigneur ne cessent de se manifester !

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Puisque le message 74 du tome 2 de « Pour le bonheur des Miens, Mes Choisis. Jésus » m’y invite, je vous transmets mon témoignage, non pour ma gloire personnelle, mais bien pour Jésus.
Le mercredi, lors de ma pause du midi, j’ai pour habitude d’aller passer une heure en compagnie de Jésus dans le Saint-Sacrement. Durant ces moments, je lis un ou plusieurs passages des volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». Aujourd’hui, je suis arrivé à ce beau message 74, qui a commencé comme une surprise : « Tiens, Jésus me parle directement ! Quelle joie ! »
Au fil de la lecture, je comprends, comme c’est écrit, que ce que je lis se passe présentement et que je devrais normalement ressentir quelque chose… mais je ne ressens rien encore. Quand j’arrive à la fin du message où il est écrit « Enfant de mon cœur, Je t’aime, Je t’aime, Je t’aime… », je m’effondre en larmes au troisième « Je t’aime ». Je le ressens encore maintenant, une heure après.
Je ne suis pas un comédien et je ne pleure pas sur commande, mais il est vrai que je suis sensible et ce n’est pas la première fois que je pleure ainsi pour des raisons similaires. La première fois, c’était le 15 août 2010, lors de ma conversion. Je crois que Jésus aime se servir de ma sensibilité pour me faire comprendre qu’Il est là et qu’Il agit.

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J’ai les livres « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » et je désire témoigner de toute la paix, la joie et l’espérance que la lecture et la méditation de ces écrits m’apportent. C’est comme si j’attendais cela depuis longtemps. Plusieurs messages et enseignements me touchent personnellement, car j’y reconnais des situations que je vis depuis quelques années. Ce qui me frappe surtout, c’est l’application si simple de ces enseignements accessibles à tous les enfants de Dieu, et le respect de leur liberté. On y reconnaît bien notre Père qui s’occupe de tous Ses enfants.

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Une personne s’adresse à Léandre :
Ce que tu nous communiques de la part de Dieu est tout à fait ma spiritualité. C’est dans ce sens que le Seigneur m’a enseigné dans les dernières années : la confiance dans l’infinie bonté de Dieu ; voir à Le laisser faire ; être content et joyeux ; tout attendre de Lui. Je suis certain de pouvoir aller de l’avant sur ce chemin en me nourrissant des inspirations que tu as reçues !

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Je commence à comprendre et à vivre ce que Jésus disait : « Vous serez dans la jubilation. » Je n’arrête pas de sourire et de rire comme un enfant. Chez moi, je ne marche plus… je danse en avançant, en sautillant comme un enfant ! Je me mets à sourire et à boire des gorgées de joie, et ce, même lorsqu’il n’y a rien d’extraordinaire autour de moi. Je découvre et redécouvre sans fin l’extraordinaire qui m’environne et qui m’aide à Le contempler dans une joie parfaite.
Dernièrement, j’ai rêvé que je me levais à 5 h du matin, dans le pays de Jésus : je voyais les champs, les bergers, les moutons, les clôtures, le paysage rural et les douces collines ; et Marie et moi marchions ensemble pour aller à la rencontre de Jésus ressuscité. Depuis ce rêve, Dieu m’a guéri de certaines tentations de la chair. Dieu opère même dans nos rêves, j’en suis témoin !
C’est à Jésus, à travers vous, que je dois le bonheur que je vis continuellement, 365 jours par année.

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Témoignage d’un prêtre :
Je peux témoigner que la « Pensée du Jour » est vraiment celle que je dois recevoir pour chaque jour ! C’est vraiment le Seigneur qui, dans Son grand Amour, répond à ce que je portais dans mon coeur comme joie, comme tristesse ou comme désir… C’est époustouflant !
La semaine dernière, je redisais tous mes Oui à Jésus, comme je le fais de temps en temps, en m’appuyant sur le Volume 3 à la page 211. J’avoue que le quatrième Oui me faisait toujours froid dans le dos lorsque je le priais. « Me laisser dépouiller de tout… » Eh bien, le Seigneur m’a pris au mot, car quelques heures après avoir prononcé ce oui à être dépouillé de mes biens matériels, un pirate informatique s’introduisait dans mon ordinateur et a vidé mon compte bancaire. Je n’ai plus rien… Et le plus beau, c’est que j’en suis heureux !

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Ce matin en lisant la « Pensée du Jour », j’ai compris tout ce que le Seigneur a permis que je vive lors de l’incendie partiel de ma maison. Depuis plusieurs années, avant même de prendre mon café le matin, je m’empresse de lire la « Pensée du Jour » et cette Pensée m’a transformée ; elle me fait bien comprendre la grandeur de l’Amour.
 
Le soir du 24 décembre, je suis allée célébrer la Messe de minuit chez mes amis les Petits Frères de la Croix.
N’ayant pas de bateau pour revenir le soir même, je suis restée dormir au Monastère pour revenir le lendemain midi. Avant de quitter le Monastère, j’ai téléphoné à ma voisine qui m’apprend que ma maison brûlait. Quel choc, car j’ai dû attendre le bateau de 16 h avant d’entrer chez moi ! Entrant dans la maison, j’aperçois, par terre, mon bréviaire et tout à côté, une image de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Ne comprenant absolument rien de ceci, car les pompiers avaient détérioré les lieux, je lis sur l’image de Thérèse : « Ne croyez pas que, lorsque je serai au Ciel, vous n’aurez que des joies. Ce n’est pas ce que j’ai eu ni ce que j’ai voulu avoir. Vous aurez de grandes épreuves, mais je vous enverrai des lumières qui vous les feront apprécier et aimer. Vous serez obligées de dire comme moi : « Seigneur, vous me comblez de joie par tout ce que vous faites ».
Au même moment, comme une flèche d’amour traversant mon cœur, je vois tout juste devant moi au niveau de mon cœur, un petit feu, aux flammes jaunâtres, en petites flammes toutes égales. Mon cœur était si doux, si bon que je me suis écrié : « Tu m’avais tout donné Seigneur, Tu m’as tout ôté, que Ton saint Nom soit béni. Je Te donne tout et je Te dis Oui totalement à tout ce que Tu désires de moi.» Le Seigneur a mis le feu à mon cœur et l’a enflammé de Son Amour-Feu. Que dire ? Mais oui, que dire de plus ? Quelle liberté et quelle joie !
Vous comprenez maintenant l’importance pour moi de la Pensée de ce matin et cette confirmation à travers tous ces messages célestes.

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