Quelques jours après la réception de votre message, j’ai vécu un élargissement de ma conscience à propos de la définition de l’Amour. C’est difficile à expliquer, mais j’avais l’impression de comprendre de l’intérieur ce qu’était l’Amour. Mon mental ne cherchait plus. J’ai ressenti du bien-être et un apaisement.
En prière avec vous et tous les autres choisis de Jésus.
Bonheur
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Avec vous, je loue le Seigneur pour les merveilles dont Il m’a comblé et dont Il continue de me combler. Je suis tellement heureux et rempli de joie par mon nouvel emploi… cela déborde ! Mais ma plus grande joie est de constater que le Seigneur est attentif à mes besoins, que je compte à Ses yeux, et qu’Il m’aime d’un amour infini.
Il m’a donné beaucoup plus que j’osais Lui demander. J’ai appris que le plus important n’est pas de Lui faire des demandes, mais de Lui faire confiance, de m’abandonner à Lui et surtout de Le laisser faire. Croyez-moi, j’ai bien appris cette leçon !
Ce soir, je me joins à d’autres pour un temps de prière. Soyez assurés que je me ferai un devoir de témoigner des merveilles dont le Seigneur me comble et continue de me combler.
Merci, Jésus, de me rappeler l’importance d’exister, en intimité avec Toi ! Quel bonheur de connaître cette intimité… mon plus grand désir est d’être tellement transparent de Ta présence que toute l’humanité puisse accourir vers cette intimité et bénéficier du même bonheur que Tu me procures.
Merci Seigneur, car, de jour en jour, je ressens le bonheur. Même avec mes souffrances et les injustices à mon égard, j’ai la joie de constater que Ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier.
Lire la « Prière de Jésus à Son Père, Notre Père » : http://www.fcdj.org/prieres?p=16
C’est drôle : lorsqu’on me demande si je suis heureuse, il me semble que je ne le suis jamais. Je pense à tout ce qu’il me manque, et à tout ce qui m’attriste… Pourtant, j’ai vécu de si beaux moments de bonheur en la présence de Dieu !
Il me semble n’être heureuse qu’en Lui, et le temps que je prends pour m’interroger me ramène aux dures réalités. Je m’aperçois que, chaque fois que je chante, je me réfugie en moi, dans ce lieu si profond où je me fonds en Dieu. Alors, je ne pense plus à ce qu’il me manque. J’ai tout ; en Dieu, plus rien ne me manque !
Pour prier avec les chants, consulter l’audiothèque : http://www.fcdj.org/audiotheque/consulter_laudiotheque
Dieu est bon et bienveillant ! Il a vu ma détresse et a mis une personne sur ma route pour me faire connaître les « Pensées du Jour ». Depuis, je les attends avec impatience et je les lis avec gourmandise… car il faut être gourmand de tout ce qui vient de notre Seigneur ! Cela fait tellement de bien de se sentir aimée et regardée avec une telle douceur et une telle tendresse. Je sens ma transformation et le Seigneur œuvre en moi et par moi. Je Lui donne mon Oui inconditionnel et total tous les jours. Je partage ces Pensées avec une vingtaine de personnes, car je ne peux les garder pour moi, en y ajoutant un commentaire inspiré par l’Esprit Saint. C’est un bonheur d’écrire sous Son influence. Merci à vous pour cette découverte : que le Seigneur ne cesse de nous appeler et de nous aimer. Merci à vous pour ces magnifiques Pensées. Merci, Jésus, de nous rendre l’espoir et la paix.
« Il est facile de s’abandonner au Seigneur lorsqu’on n’a rien, car il n’y a rien à perdre, mais lorsqu’on a beaucoup, il y a beaucoup de choses que l’on peut perdre. » La lecture de cette phrase m’a stoppée net, car je me suis rendu compte que je suis encore riche, même si je n’en ai pas l’impression. En effet, comme le jeune homme riche dans l’Évangile, j’ai encore beaucoup à perdre, alors que je pensais avoir été dépouillée de tout. Je prends conscience des trésors cachés auxquels, inconsciemment, je ne veux pas renoncer pour laisser le contrôle à Dieu. Je prolonge indéfiniment mon agonie par mes refus et mes peurs de m’abandonner. Je n’ai en effet pas le oui aisé et j’ai si peur que je n’arrive pas à plonger, à m’élancer dans le vide, même si c’est pour tomber dans les bras aimants du Père. Je vais donc continuer à essayer, par la grâce de l’Esprit Saint, d’être une brebis docile et confiante, puisque j’ai un Bon Berger qui a à cœur mes intérêts.
Lien vers la « Prière du Oui » : http://www.fcdj.org/prieres?p=4
Lors d’une conférence de « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus » à laquelle j’ai assisté, je sentais la présence du Seigneur. Les paroles me désaltéraient, je ressentais un immense bonheur et ma soif était assouvie. J’ai parlé de ces messages à des prêtres, à des séminaristes et à mon directeur de conscience. Un prêtre de Rotondo a lu le livre et il le trouve très bon.
Clique ici pour lire les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus »
Je lis avec bonheur les livres « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus ». Ma lecture se poursuit très lentement, car c’est de cette façon que je rejoins plus facilement Celui qui nous parle. Ma prière est alors vraie, efficace et elle se poursuit avec l’Eucharistie. Je n’en suis qu’au numéro 182, mais celui-ci est si important que pour le mettre en pratique, je dois y revenir et l’apprendre par cœur. Sans ces livres, je ne tiendrais pas debout devant les adversités, car Jésus est là au fond de mon cœur et Il me soutient.
Lien vers les volumes « Pour le bonheur des Miens, Mes choisis. Jésus »
Je vis dans une résidence pour personnes âgées et malgré mes 83 ans, je remercie Dieu de ce qu’Il me donne : « Parce que l’Amour t’aime, tu deviens l’Amour ! » Est-ce possible que cette petite phrase me rende si heureuse ? Elle est pleine d’amour ; et à elle seule, elle suffit à m’enflammer !
Dans tout cela, où est mon apostolat ? Je prie mon chapelet, je réussis à faire deux rosaires par jour et je médite des passages du livre. Nous avons, je pense, dans les trois volumes, tout ce qui est nécessaire pour grandir dans l’Amour. J’ai beaucoup de joie à parcourir ces livres !
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